À la mémoire de Vasiliki Anastasopoulos

C’est avec une grande tristesse que nous vous annonçons la perte d’un merveilleux membre de notre famille. Ma belle-mère, Vasiliki Anastasopoulos est décédée le 23 septembre 2021. Elle est née à Neapoli Kozani, en Grèce, le 20 mars 1932. Elle était une épouse, une mère, une belle-mère incroyable, Yiayia (grand-mère en grec), arrière-grand-mère, sœur, tante et amie.

« S‘il y avait une image de force et d’amour, c’était celle de ma mère. » ~ Georges Anastasopoulos

« Maman était le fondement de notre famille. Elle nous a gardés forts, nous a aidés à grandir et nous a montré l’importance de cet amour et ce que la famille signifie vraiment. Personne ne pourra l’égaler. » ~ Tony et Wendy Anastasopoulos

« Sa force, son amour et sa générosité n’avaient pas de limites. Notre grand-mère (Yiayia) était une guerrière pour sa famille, compatissante et féroce. Elle a inspiré ceux qui l’entouraient à endurer par son exemple. Elle était accueillante aux bras ouverts, et a embrassé tous ceux qui sont entrés dans sa vie comme s’ils étaient les siens. » ~ Amy et Kelly Anastasopoulos, Steffie Anastasopoulos et Shayan Mirza

 « Yiayia a toujours réuni la famille et les amis, et a montré tant d’amour à travers sa cuisine. Il y avait toujours ce qui semblait être une quantité infinie de plats délicieux pour que tout le monde puisse en profiter. Nous savions tous à quel point l’amour était présent dans la nourriture que nous mangions ensemble. Mes cousins ​​et moi avons eu l’honneur de cuisiner aux côtés de Yiayia pour apprendre toutes nos recettes préférées ; bien sûr, nous avons préparé une énorme quantité de nourriture et nous en avons adoré chaque minute. Non seulement nous avons ramené ces magnifiques recettes avec nous, mais nous avons aussi créé des souvenirs incroyables. Avec ces recettes chéries, je suis fier de les transmettre aux arrière-petits-enfants de Yiayia. Son amour sera ressenti et apprécié pour les générations à venir. » ~ Mandy Anastasopoulos et Chris Jankowski

Ma belle-mère, une femme très sage, m’a dit un jour : « Angèle, quand tu es entrée dans la famille pour la première fois, il ne s’agissait pas du fait que tu étais grecque ou non, catholique ou orthodoxe. Il s’agissait de savoir à quel point tu étais une bonne personne et comment tu as traité mon fils. Elle était la plus gentille et la meilleure belle-mère que j’aurais pu demander. Elle m’a accepté ainsi que ma belle-sœur Wendy à bras ouverts.

Brenda, une de mes bonnes amies, m’a rappelé l’autre jour ce que ma belle-mère lui a dit lorsqu’elle lui a demandé si elle était inquiète lorsque mon mari et moi nous sommes mariés, parce que nous étions de cultures et de religions différentes. Ma belle-mère a répondu : « Non, je ne l’ai jamais fait. Je savais que si je traitais mes belles-filles avec respect et comme des reines, elles traiteraient mes fils comme des rois ». Et je dois dire qu’elle nous a toujours traitées comme des reines. Ma belle-sœur et moi avons eu la chance d’avoir des beaux-parents qui nous ont toutes les deux acceptées dès le début pour ce que nous étions et nous ont traités comme leurs « filles ». Repose en paix avec l’amour de nous tous !

Angèle Desgagné-Anastasopoulos